Nom : Akimichi
Prénom : Hoï
Taille : 2M20
Poids : 170 kilos
Sexe : masculin
Âge : 43 ans
Nindô : Rang : Jounin, chef du clan Akimichi.
Description physique :
Grand, beau, fort, puissant, sont des mots qui qualifient à ravir le chef du clan Akimichi. Il est bon de savoir que celui qui a prit la relève de son oncle, fait tout son possible pour faire changer les habitudes alimentaires de son clan. Ses mains sont deux gigantesques battoir couvertes de corne qui peuvent réduire en morceau jusqu'au plus coriace tronc d'arbre. Il porte un gilet de cuir brut, sempiternellement ouvert sur ses muscles pectoraux surdéveloppés. Il n'a jamais froid, et jamais ô grand jamais il n'a la chair de poule. Hoï aime son pantalon de cuir noir, même s'il commence à montrer des signes de décrépitude. Une grande ceinture de corde fait tenir le futal, pas très élégant, mais efficace...tout comme lui. Un piercing en argent orne son arcade sourcilière droite, et un tatouage représentant une geisha prenant son bain couvre l'entièreté de son dos musculeux.
Description mentale :
Bruyant, balourd et souvent alccolisé, Hoï tranche avec le reste de son clan. Il est un leader d'hommes, qui a jeté aux orties sa sympathie d'Akimichi pour revêtir les habits de chef de clan. Il peut être très attachant, mais il se montre implacable et féroce avec ses ennemis. Fonceur et déterminé, il est à l'aise lorsque les coups pleuvent. C'est un vrai guerrier, un pur et dur qui ne cesse de s'entrainer pour être à la hauteur. Mais depuis une petit dizaine d'année, son niveau stagne, peut-être même qu'il régresse. Toujours est il qu'il n'a pas encore d'égal au sein des Akimichi, et que sa répartie lui offre encore un peu de répit.
Histoire :
-Ottousaaaaaaaaaan……OttousaaaaaaaaaaaaaaanLe petit Akimichi pourtant déjà grand par rapport aux enfants de son âge, agrippe la jambe de son père et la serre très fort contre lui.
-Qu’est-ce qui se passe fiston ?-Mes camarades m’embêtent…ils…ils sont toujours méchants avec moi. Ils…ils disent que les Akimichi sont des gros patapoufs trop lents pour jouer, qu’ils sont des boulets que tout le monde se traîne.Le sourire de Kengo se fait rassurant, tout comme sa voie, l’homme de très forte corpulence tapote la tête de son fils : Hoï.
-Ce ne sont que des enfants Hoï-bou, de plus il est vrai que nous ne brillons par notre vitesse. Mais un jour Hoï-bou, tu rencontreras un ami qui te sera fidèle, et tu le défendras, au péril de ta vie. C’est ainsi que notre clan voit les choses.Le gamin sèche ses larmes, mais ne décolère pas.
-Mais…je ne veux pas mourir pour les autres…et puis je veux pas d’amis. Je veux juste être accepté, admiré, je suis pas un boulet Ottousan. Et nous valons bien mieux que la plupart des gens du village.Il attrape une de ses poignées d’amour impressionnante pour un si petit garçon et l’exhibe à son père.
-Tu comprends pas que c’est à cause de ça qu’ils nous détestent ? Ils nous voient comme des gros lards incapables. Moi, je changerais ça.De retour auprès de ses petits camarades, deux droites et quatre gauches plus tard, il était le nouveau roi de la cours de récré.
……………………………………………………………………………
Hoï a maintenant quarante trois ans. A force d’exercices physiques de plus en plus poussés, il est devenu une montagne de muscle et chef de son clan. Le petit garçon obèse inspire désormais la crainte et le respect chez ses adversaires. Le village est en guerre, et l’armée d’Iwa à réussit à créer une brèche dans les lignes de Konoha. Devant la porte, l’Akimichi attend son heure de gloire. Il a été assigné par l’Hokage lui-même à la protection de cette grande porte. Dix…vingt…trente…quarante adversaires se dressent devant lui. Hoï sort les mains de ses poches, il est le premier a avoir l’honneur de se battre contre l’envahisseur. Il n’est pas inquiet car même s’ils passent le premier barrage qu’il représente, ils seront obligés d’affronter la seconde lame. Derrière la porte, il y’a la petite Hyûga qui a un sacré cran, son amie Sen Inuzuka doit aussi se tenir par là, puis il y’a un Nara, un Yamanaka, et tous les représentants des clans de Konoha. Et pour finir, il y’a Hokage-Sama, chef du clan Senju qui les attend aussi de pieds ferme. Il est temps de prouver sa valeur, l’Akimichi s’apprète à s’élancer lorsqu’un écho l’arrête.
-Doton Doryuu dango
-Doton Doryuu dango
-Doton Doryuu DangoTrois immenses blocs de terre menacent de s’écraser sur le village, lancés par des shinobi d’Iwa.
-Bubun, Baïka no jutsu !La main du Jounin devenue énorme attrape au vol les boules de terre et les smashs vers les troupes du village de la roche.
-Rhaaaaaaaa !Son rugissement féroce fit frissonner de terreur ses ennemis, et il chargea…seul. Le combat était acharné. Il décuplait ses membres les uns après les autres, empêchant toute progression des troupes d’Iwa. Mais ils étaient trop nombreux, et submergé par le nombre, il céda. Il souffrait de multiples contusions et entailles sur tout le corps, mais continuait de se jeter dans la mélée. Comme prévu, la deuxième lame termina le travail, et les autres chef de clan durent même aider l’Akimichi tant il était assaillit de toutes parts. Il se réveilla à l’hôpital et envoya balader tous les machins qui maintenaient ses paramètres vitaux pour se mettre à courir comme un damné jusqu’au bureau de Tsunehide dont il défonça la porte, alors que trois anbus s'accrochaient à ses jambes pour le retenir..
-Hokage-Sama ! J’ai faillit à ma mission ! Je vous présente mes plus humbles excuses.Ses énormes mains frappèrent le sol alors qu’il se mettait à genoux pour demander pardon. Puis, sans un regard, il s’en alla. Il n’avait même pas vu les hauts dignitaires présents dans l’office, ni le visage empourpré de Tsunehide à qui il faisait honte, il était déjà retourné s’entrainer.